Clobber report, #9

Djobi, Jobber
Cada dia te quiero ma’
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma’
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma’

 

Vous aussi, marchez dans la lumière des Gipsy Kings, visionnaires troubadours qui chantaient les louanges de votre serviteur bien avant que Sting n’oublie ses clones pour son retour WCW style. Comment? En lisant la neuvième édition du Clobber Report, consacrée aux shows hebdomadaires de la semaine du 8 mars.

 

 


– T’as quel âge?
– Euh… Bientôt 51?
– Trop jeune, donne la batte tu vas te blesser.

 

 

Clobber Report, semaine du 8 mars


Djobi, Jobber
Cada dia te quiero ma’
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma’
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma’

 

Vous aussi, marchez dans la lumière des Gipsy Kings, visionnaires troubadours qui chantaient les louanges de votre serviteur bien avant que Sting n’oublie ses clones pour son retour WCW style. Comment? En lisant la neuvième édition du Clobber Report, consacrée aux shows hebdomadaires de la semaine du 8 mars.

 

 


– T’as quel âge?
– Euh… Bientôt 51?
– Trop jeune, donne la batte tu vas te blesser.

 

 

Clobber Report, semaine du 8 mars

 

Vulgum pecus (NXT) : Ce n’est pas anti-américain que de qualifier les citoyens des États-Unis de grosses buses en géographie. La preuve, pendant le combat de Justin Gabriel contre le rookie de Chris Jericho, le public l’a encouragé à grands coups de USA chants… alors qu’il est originaire d’Afrique du Sud. Quant à son adversaire du soir, il était britannique. D’où malaise à la table des commentateurs.

 

 


Il dit qu’il voit pas le problème.

 

 

Ils sont fous ces TNAmaniacs (iMPACT!) : Cette semaine, pas de comparaisons fielleuses entre la TNA et la WWE, je ne vous expliquerai donc pas en quoi la fédération d’Orlando a piteusement tenté de faire de Kurt Angle son John Cena. A la place, je préfère vous inviter à regarder une fois de plus (et encore une, puis encore une…) l’extraordinaire remake PG-13 de La Cage aux folles qu’ont interprété Hulk Hogan et Ric Flair. Les boas, les bourrelets, les grimaces, les gestes expansifs, tout y était parfaitement dans le ton. Quel dommage que les ratings ne suivent pas.

 

 


Tu la tiens virilement, ta biscotte!

 

 

It’s clobbering time!

 

Petite mais costaude : Big up à la petiote de Rey Mysterio, qui en deux regards terrorisés s’est révélé meilleure comédienne que son paternel. Ce n’était pourtant pas gagné d’avance, non pas à cause de l’excellence du flippant CM Punk, mais bien parce qu’il n’était pas aisé de ne pas pouffer à la découverte de l’accoutrement ridicule dudit paternel, tellement obnubilé par son merchandising qu’il portait en plus de son masque une chemise avec un masque imprimé dessus!

 

 


Salut fiston, t’as drôlement grandi. (à voix basse) T’aurais pas fourré ton nez dans mon tiroir de salle de bains par hasard?

 

 

Magnéto Serge : La TNA n’est toujours pas foutu d’établir et de promouvoir une carte complète de pay-per-view moins de deux jours avant son déroulement, mais au moins son nouveau générique a de la gueule. Plus iconique (tout le monde prend la pose), plus subtil (pas de voix caverneuse pour déclamer un slogan), mieux réalisé (jolis plans sur les yeux de Foley) et avec ce qu’il faut de détails qui font la différence (le cri de Daffney, celui de Flair, celui du lion… OK le lion est de trop): on se croirait à la WWE.

 

 


On s’y croirait même un peu trop.

 

 

Ainsi s’achève ce neuvième numéro, merci à vous de l’avoir lu jusqu’au bout. Le Clobber Report ne serait toutefois pas complet sans une intervention de l’un de nos plus fidèles lecteurs, le très circonspect Jeff Hardy.

 

 


 

 

Ouais, il vient de voir la fin d’iMPACT!


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