Clobber report, #3

Djobi, Jobber
Cada dia te quiero ma’
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma’
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma’

 

Vous aussi, marchez dans la lumière des Gipsy Kings, visionnaires troubadours qui chantaient les louanges de votre serviteur bien avant que Bret Hart ne serve de prétexte à un bras de fer entre John Cena et Batista (notez que pour 500 000 dollars, moi aussi je m’en accommoderais). Comment ? En lisant la troisième édition du Clobber Report, consacrée aux shows hebdomadaires de la semaine du 8 février.

 

 


Une nouvelle fois, il est temps de foutre!

 

 

Clobber Report, semaine du 8 février


Djobi, Jobber
Cada dia te quiero ma’
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma’
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma’

 

Vous aussi, marchez dans la lumière des Gipsy Kings, visionnaires troubadours qui chantaient les louanges de votre serviteur bien avant que Bret Hart ne serve de prétexte à un bras de fer entre John Cena et Batista (notez que pour 500 000 dollars, moi aussi je m’en accommoderais). Comment ? En lisant la troisième édition du Clobber Report, consacrée aux shows hebdomadaires de la semaine du 8 février.

 

 


Une nouvelle fois, il est temps de foutre!

 

 

Clobber Report, semaine du 8 février

 

Drugs are bad, m’kay ? (Raw & Smackdown) : Todd Grisham serait-il du genre à mâchouiller une feuille de coca pour se donner du cœur à l’ouvrage ? Les sermons de CM Punk blessent-ils Jerry Lawler dans son orgueil de baudruche remplie de bière bon marché ? TMZ seul le sait, toujours est-il que l’un comme l’autre débite nombre d’âneries à propos du straight-edge savior. Grisham nous a ainsi expliqué que, fort de sa connaissance du muay thaï, Punk utilisait le momentum de son adversaire à son propre avantage. Intéressant, sauf que c’est le principe de l’aïkido. Quant à Lawler, j’espère le voir récompensé d’un Slammy Award du Captain Obvious of the Year pour son « he is standing » lancé en pleine promo de mon chouchou, au moment où ce dernier demandait au binoclard de Subway de se lever…

 

 


Etonnant, cette histoire de mouette thaï?

 

 

Old World Order (iMPACT!) : Hogan a-t-il cogné Hall et Waltman pour brouiller les pistes ? Ou bien est-il ce vraiment ce héros du peuple prêt dénoncer toutes les injustices, tel John Cena fustigeant l’amour de Vince McMahon pour le pognon en arborant un t-shirt à sa propre effigie ? Bischoff va-t-il faire bouffer à AJ Styles son tube d’auto-bronzant ? Ou bien va-t-il précipiter la défaite de Samoa Joe avant de batifoler avec les barely legal call girls de Ric Flair ? En voilà des questions intéressantes et des storylines ambitieuses. Dommage qu’elles exhalent un vieux relent de fin des années 90 : dix sacs que ça se termine par un fingerpoke of Doom après que Taz ait conduit les TNAmaniacs à zapper sur Raw en annonçant la victoire de Christian sur Sheamus pour le WWE Championship.

 

 


Un coup de surfboard of Doom, ça marche aussi.

 

 

It’s clobbering time !

 

Touche pas à ma GM (ECW, Raw & Smackdown) : Tiffany, le clapotis de ta voix de Barbie à la tête bien faite va nous manquer. D’ailleurs, on prie très fort pour que la WWE ne demande pas à Kelly Kelly de te remplacer, tant son imitation de Vickie Guerrero au micro de Raw fut insoutenable. Reste qu’on ne se fait pas de souci pour ton avenir : on sait que tu folâtres avec Drew McIntyre, lequel sera bientôt Triple H à la place de Triple H. A condition qu’on lui remette son thème musical d’origine, parce que la power ballad façon Scorpions, ça vous tue une crédibilité en moins de temps qu’il n’en faut au Miz pour inventer un United Tag Team Championship.

 

 


Slim Fast et L’Oréal Couleur Experte, le doublé gagnant de VickieGuerrero.

 

 

Les comptes d’Anderson (iMPACT!) : Le micro de Mr Anderson est au catch ce que les marteaux de Kaori Makimura (City Hunter) sont au manga, un accessoire aussi mythique que mystérieux. Au beau milieu du ring, au sommet de la rampe d’accès et maintenant en coulisses, il peut descendre de n’importe où. Et son propriétaire le manie tellement bien… Ça c’est de l’entertainment coco.

 

 


Pas de problème si Anderson se blesse, Joe et Flair sont sur le coup.

 

 

Ainsi s’achève ce troisième numéro, merci à vous de l’avoir lu jusqu’au bout. Le Clobber Report ne serait toutefois pas complet sans une intervention de l’un de nos plus fidèles lecteurs, le sémillant Gene Snitsky.

 

 


It wasn’t my fault!


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