Clobber report, #2

Djobi, Jobber
Cada dia te quiero ma’
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma’
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma’

 

Vous aussi, marchez dans la lumière des Gipsy Kings, visionnaires troubadours qui chantaient les louanges de votre serviteur bien avant que William Shatner ne prenne Randy Orton pour le bâtard d’un Vulcain et d’une Terrienne. Comment ? En lisant la deuxième édition du Clobber Report, consacrée aux shows hebdomadaires de la semaine du 1er février.

 

 


Comme chaque semaine, il est temps de foutre!

 

 

Clobber Report, semaine du 1er février


Djobi, Jobber
Cada dia te quiero ma’
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma’
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma’

 

Vous aussi, marchez dans la lumière des Gipsy Kings, visionnaires troubadours qui chantaient les louanges de votre serviteur bien avant que William Shatner ne prenne Randy Orton pour le bâtard d’un Vulcain et d’une Terrienne. Comment ? En lisant la deuxième édition du Clobber Report, consacrée aux shows hebdomadaires de la semaine du 1er février.

 

 


Comme chaque semaine, il est temps de foutre!

 

 

Clobber Report, semaine du 1er février

 

Kend’oh! (ECW) : Ezekiel Jackson mesure 1m89. Il pèse 140 kg. Sa musculature fait passer Mister T pour un punk à chiens n’ayant pas fait les poubelles depuis une semaine. Quant au sourire anthropophage qu’il arbore au terme d’un standing side slam bien senti, il suffit à panser le douloureux souvenir des tirages de langue d’Ahmed Johnson, autre ramasseur de cotons ayant su s’attirer les faveurs des officiels. Mais comme bien d’autres forces de la nature avant lui, Ezekiel Jackson ne peut rien contre le terrible kendo stick, arme aussi retentissante qu’un panier en osier chutant des mains de cette godiche de Perrette, aussi mortelle qu’une paille entre les mains de Jason Bourn… STOP ! Vous voyez où je veux en venir : il faut que ce ridicule ustensile disparaisse de nos écrans.

 

 


Pas de problème, remplaçons le kendo stick par un Lirpa vulcain.

 

 

Les vieux de la rampe (iMPACT!) : Ça y est, on sait enfin à quoi sert l’espèce de podium pour nymphettes en Victoria’s Secret qui a remplacé la traditionnelle rampe d’accès de l’iMPACT! Zone : à ce que Ric Flair ne se pète pas le péroné lorsque, rompant sa promesse de ne plus remuer sa chevelure de vieux beau sur un ring, il est projeté par-dessus la troisième corde.

 

 


Ça fait au moins un heureux

 

 

Garçon, la suite ! (ECW / Raw) : Mieux vaut tard que jamais : l’acronyme ECW pourra reposer en paix dès le 23 février prochain, et c’est Vince McMahon en personne qui nous l’a annoncé, au terme d’un émouvant discours de 25 secondes (voire 26). Place donc à Next, une émission censée faire la part belle à la jeunesse, un peu comme la WWECW mais en pas pareil. D’où cette bonne nouvelle : Shelton Benjamin et Christian vont enfin pouvoir évoluer dans une division mieux lotie. D’où cette autre bonne nouvelle : Kofi Kingston pourra aller y perfectionner son étonnant missile dropkick à l’épaule, expérimenté pour la première fois à Raw contre le Big Show.

 

 


Ben alors, on est trop stone pour tenir en équilibre sur la troisième corde ?

 

 

Il faut bien que jeunesse ne fasse que passer (iMPACT!) : Il fallait être attentif pour ne pas le louper, mais nous voilà rassurés : Eric Young est vivant. Pas sûr qu’il se remette de la perte de sa faction (World Elite, désormais aussi influente que Europe Démocratie Espéranto) de son TNA Global Championship (au profit de Rob Terry lors du house show irlandais du 27 janvier) et de son statut de top heel en devenir (on soupçonne Hogan de préférer les frusques rouge et jaune de Curry Man), mais ça fait plaisir d’entendre à nouveau sa voix de physicien atteint de dystrophie musculaire. Puis bon, il était sapé comme Eric Bischoff, il n’est donc pas interdit d’espérer.

 

 


Euuuh, Eric qui ?

 

 

Ainsi s’achève ce deuxième numéro, merci à vous de l’avoir lu jusqu’au bout. Le Clobber Report ne serait toutefois pas complet sans une intervention de l’un de nos plus fidèles lecteurs, l’exubérant Randy Savage.

 

 


Ooooh yeah, dig it !


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