Clobber report, #18

Djobi, Jobber

Cada dia te quiero ma'

Djobi Djobi, Djobi Jobber

 Cada dia yo te quiero ma'

Djobi Djobi, Djobi Jobber

Cada dia yo te quiero ma'

 

Vous aussi, marchez dans la lumière des Gipsy Kings, visionnaires troubadours qui chantaient les louanges de votre serviteur bien avant que R-Truth ne fasse son John Cena en ne récoltant pas la moindre égratignure au sortir d'une terrible explosion (OK, on voit ses jambes quand il plonge, mais tout de même). Comment? En lisant la dix-huitième édition du Clobber Report, consacrée aux shows hebdomadaires de la semaine du 19 avril.

 

 

Il est temps de foutre le feu bon marché!

 

 

Clobber Report, semaine du 19 avril

 

 

Djobi, Jobber

Cada dia te quiero ma'

Djobi Djobi, Djobi Jobber

 Cada dia yo te quiero ma'

Djobi Djobi, Djobi Jobber

Cada dia yo te quiero ma'

 

Vous aussi, marchez dans la lumière des Gipsy Kings, visionnaires troubadours qui chantaient les louanges de votre serviteur bien avant que R-Truth ne fasse son John Cena en ne récoltant pas la moindre égratignure au sortir d'une terrible explosion (OK, on voit ses jambes quand il plonge, mais tout de même). Comment? En lisant la dix-huitième édition du Clobber Report, consacrée aux shows hebdomadaires de la semaine du 19 avril.

 

 

Il est temps de foutre le feu bon marché!

 

 

Clobber Report, semaine du 19 avril

 

 

 

Il est temps de foutre!

 

I don't want to be a part of it, New Jersey, New Jersey (Raw): Le cheap heat, comment ça marche? Eh bien ça marche comme vous l'explique Michel Cheval… pardon Axl dans sa nalyse du Raw du 19 avril. Si je vous en reparle, c'est parce que la WWE a fait au passage une grave entorse au folklore ricain: comme l'illustre la sitcom How I Met Your Mother, ce sont les New Yorkais et eux seuls qui ne peuvent pas blairer le New Jersey. Qu'un type comme CM Punk, originaire de cette belle ville industrielle et criminelle qu'est Chicago, la ramène sur l'État de Bam Bam Bigelow, ce n'est pas juste simpliste, c'est idiot.

 

 

– Popa, cékoiça ?

– Ça, fils, c'est un New-Yorkais qui vient d'arriver dans le New-Jersey.

 

 

Ça lui fait une belle jambe (iMPACT!): L'ami Spanish ayant profité d'un verre en terrasse pour louer l'attention que porte le Miz à ses pinfalls (franchement, vous faites gaffe à ce genre de détails, vous?), permettez-moi d'enfoncer une porte grande ouverte en dénonçant ceux de Rob Van Dam: rien que pour avoir effectué un tombé victorieux sur le champion sortant sans daigner lui tenir une guibole, RVD mériterait de se retrouver enfermé dans un espace exigu avec Bubba the Love Sponge. Bouh, que c'est pas pro.

 

 

Si t'es pas content, tu peux rejoindre Kong, ok brother?

 

 

It's clobbering time!

 

Avec le sourire (NXT): En ce moment, ce qui me met en rogne, c'est les cris d'orfraie qui accueillent chaque épisode de NXT. Leur cible: Daniel Bryan, soi-disant ridiculisé à force de squashs et de mini-jeux débiles. A ces pisse-froids, je répondrai ceci: vu la banane qu'il affiche en toutes circonstances, il est évident que Bryan s'éclate comme un gosse dans un bassin de balles en plastique, et c'est bien là l'essentiel. Sérieusement, comment, après l'avoir vu donner de malicieux coups de coton-tige à Michael Tarver, peut-on douter du bien-fondé de sa présence dans cette émission?

 

 

Touché, pussycat!

 

 

Old school is good school (iMPACT!): Samoa Joe est revenu, c'est extra, comme dirait Léo Ferré. Ce qui est encore plus extra, c'est qu'il a perdu de la brioche et retrouvé son look d'antan, certifié sans tatouage facial et sans pantalon de mousquetaire. Lui-même en était tellement heureux qu'il a bien failli se vautrer sur Robert Roode. Comme quoi, ça a du bon les kidnappings. D'ailleurs, si Shanon Moore pouvait suivre le même chemin et cesser d'imiter comme un pied le fantastique Lafayette (voir la série True Blood), ce serait chouette.

 

 

– Abyss, c'est qui le maigrichon là ?

– Je suis pas maigrichon môssieur! C'est le noir qui amincit!

 

 

Ainsi s'achève ce dix-huitième numéro, merci à vous de l'avoir lu jusqu'au bout. Le Clobber Report ne serait toutefois pas complet sans une intervention de l'un de nos plus fidèles lecteurs, le rabâcheur Kurt Angle.

 

 

Not only I am going to kick your ass, but I am going to kick your ass!

 

 

Merci à ce gros malade pour la quote.


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