A man they used to call Danielson

Entre l'histoire et la légende, je choisirai toujours la légende.

John Ford


Vous faites partie de ceux à qui les Tsuruports manquent cruellement? Qui coulent une larme nostalgique en pensant à ces résumés de matchs venant de tous horizons, accompagnés de vidéos vous permettant de découvrir des contrées fabuleuses et inconnues? Et bien reprenez courage, car Tsuru est de retour! Pour notre plus grand bonheur, il nous a concocté un petit top trois personnel des matchs de Bryan Danielson, et non pas de Daniel Bryan (nuance importante), qu'il nous sert accompagnés d'une présentation succinte.

 

 


Ce type est un tueur, on vous dit!

 

Mini Tsuruport spécial

 

Entre l'histoire et la légende, je choisirai toujours la légende.

John Ford


Vous faites partie de ceux à qui les Tsuruports manquent cruellement? Qui coulent une larme nostalgique en pensant à ces résumés de matchs venant de tous horizons, accompagnés de vidéos vous permettant de découvrir des contrées fabuleuses et inconnues? Et bien reprenez courage, car Tsuru est de retour! Pour notre plus grand bonheur, il nous a concocté un petit top trois personnel des matchs de Bryan Danielson, et non pas de Daniel Bryan (nuance importante), qu'il nous sert accompagnés d'une présentation succinte.

 

 


Ce type est un tueur, on vous dit!

 

Mini Tsuruport spécial

 


Il est la sensation de la WWE: rapide, déterminé, puissant, il apporte un style de catch assez inédit à la WWE, pour le plaisir d’un grand nombre de spectateurs. Mais ce n’est rien comparé à ce qu’il a fait avant.


Entrainé à la fin des années 90 par de grands noms tels Shawn Michaels, William Regal, ou Masato Tanaka (vous savez, celui qui était à la ECW et qui a livré des combats épiques face à Mike Awesome), il rejoignit la Ring Of Honor dès sa création, en 2002. Sa popularité grandira en même temps que la notoriété de la fed, jusqu’à être gratifié du titre honorifique de «Best in the World». Les trois matchs qui suivent sont autant d’exemples montrant que ce surnom est loin d’être usurpé. Trois combats, trois adversaires distincts, autant de styles différents à la fois dans le comportement de Danielson que dans le rendu «technique» du match. Vous pouvez télécharger directement les matchs en question en cliquant sur les titres des combats.

 

 


Ici par exemple, Bryan nous montre qu'il excelle en remportant ce "air bras de fer" contest.

 

 

I) Bryan Danielson vs Nigel McGuinness – Unified (2006)

 

(lien alternatif)

 

 

Comme le nom du show l’indique, il s’agit d’un match ayant pour but d’unifier le ROH World Title et le ROH Pure Title. Ce second titre a existé pendant les premières années de la fed, dans l’optique de promouvoir un catch «pur». Il y a trois règles spéciales qui accompagnent les matchs de championnat pour le titre:


-Le count out est de 20.
-Chaque catcheur a le droit à 3 «rope break» pour tout le match, pinfall et soumissions confondus. Autrement dit, il a la possibilité de casser un tomber ou une soumission en attrapant les cordes seulement trois fois.
-Les coups de poings au visage sont rigoureusement interdits et peuvent être sanctionnés par le retrait d’un des trois rope break, voire par une disqualification.


Le match a lieu en Angleterre, Nigel est accueillit comme un Roi dans son pays d’origine, et c’est un Danielson résolument arrogant qui arrive en territoire ennemi. Un match légendaire de la ROH, qui aura  certainement pour conséquence de faire pleurer tous ceux qui assistent au destin funeste de Nigel McGuinness, aka Desmond Wolfe, à la TNA.

 

 


Sauve-toi du mainstream Bryan, sauve-toi pendant qu'il en est encore temps!

 


II) Bryan Danielson vs KENTA – Glory By Honor V (2006)

 


L’American Dragon affronte un homme alors invaincu en un contre un à la ROH: KENTA. L’oriental a un catch assez simple: mettre des mandales jusqu’à ce que l’adversaire ne suive plus. A savoir également que Danielson trainait une blessure à l’épaule à ce moment la, symbolisée par un beau pansement strapé. La clé de ce duel est une vitesses à couper le souffle, le gabarit des participants aidant à cela.

 

 

[video:http://www.youtube.com/watch?v=OP7JTT2tFeM]

 


III) Bryan Danielson vs Takeshi Morishima – Final Battle (2008)


 

Doté de la stipulation “Fight Without Honor” (c’est à dire sans règle), Danielson combat le «Japanese Monster» Takeshi Morishima, 150 kilos sur la balance. Le Japonais sort d’un règne de ROH Champion et semble disposé à revenir au pays, mais les deux hommes sont obligés de régler leurs différents par un dernier combat. Dans le très célèbre Hammerstein Ballroom (ECW), Danielson montre à tous qu’il est crédible face à un type deux fois plus volumineux que lui. A méditer pour le futur lorsqu’on connait la carrure des main eventer de la WWE.

 

 

Maryse mise à part, vous conviendrez que ces matchs sont plus sexys qu'un duel avec Ted Dibiase.


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