De la rigueur dans la Nalyse

L'idéologie guette la science en chaque point où défaille sa rigueur.

Louis Althusser

 

Smackdown se portait mieux mais semble vouloir replonger dans ses travers les plus récents : un fil conducteur discutable et un traitement je m’enfoutiste de la midard. On a connu mieux pour emballer les foules. Et c’est peut être la raison pour laquelle McOcee a tenu, à l’occasion de cette nalyse, à lever le voile sur sa vie professionnelle, laquelle est comme de bien entendu intimement liée au business et au catch. Voire au business du catch. Un témoignage éclairant mais inquiétant.

 

 

Justin Gabriel qui fait son finisher la bite à l'air sur une Kaitlyn au préalable débarrassée de sa petite culotte pendant que l'arbitre n'en perd pas une miette? l'Attitude est bien de retour.

 

 

Nalyse sérieuse et rigoureuse de Smackdown du 5 novembre

 

L'idéologie guette la science en chaque point où défaille sa rigueur.

Louis Althusser

 

Smackdown se portait mieux mais semble vouloir replonger dans ses travers les plus récents : un fil conducteur discutable et un traitement je m’enfoutiste de la midard. On a connu mieux pour emballer les foules. Et c’est peut être la raison pour laquelle McOcee a tenu, à l’occasion de cette nalyse, à lever le voile sur sa vie professionnelle, laquelle est comme de bien entendu intimement liée au business et au catch. Voire au business du catch. Un témoignage éclairant mais inquiétant.

 

 

Justin Gabriel qui fait son finisher la bite à l'air sur une Kaitlyn au préalable débarrassée de sa petite culotte pendant que l'arbitre n'en perd pas une miette? l'Attitude est bien de retour.

 

 

Nalyse sérieuse et rigoureuse de Smackdown du 5 novembre

 

 

Exceptionnellement, j’ai décidé en rédigeant cette review de briser la kayfabe. Nous avons en effet pour habitude d’être discrets sur nos activités professionnelles mais aujourd’hui, bas les masques, assumons ce que nous sommes, pour le meilleur et pour le pire. Vous vous demandez surement d’où nous vient notre formidable sens de l’analyse et notre humour hors du commun ? Eh bien, sachez que c’est quelque chose de très naturel chez nous puisque qu’Axl et moi sommes en réalité les principaux associés d’une célèbre agence de notation financière, Moody's pour les plus initiés d’entre vous. Evaluer, critiquer, balancer des avis sans rien demander à personne, faire rire, c’est notre métier, c’est notre pain quotidien. Dès lors, rien de plus naturel que de voir ressurgir ici-même toutes ces qualités nécessaires à la notation financière et à l’analyse des shows de catch.

 

Précipiter le monde dans une crise financière sans précédent en donnant la note maximum à des produits financiers pourris jusqu’à la moelle ? C’est nous. Saigner la Grèce comme un goret après une dégradation de sa note ? C’est encore nous. Affaiblir l’Espagne et le Portugal en les menaçant de perdre leur rang ? C’est toujours nous. Obliger la France à une réforme des retraites sauvage et menée à la hussarde, pour qu’elle conserve son Triple A ? Ne cherchez pas trop loin, ça aussi, c’est nous. Mais tout cela, c’est de notoriété publique. En revanche ce que l’on sait moins, c’est que chez Moody’s comme chez Standard & Poor's et Fitch, les trois principales agences de notation, on ne se contente pas d’évaluer les comptes publics de pays vaguement tiers-mondistes, non. On analyse également depuis quelques années, et en grand secret, le contenu des shows de la WWE, conscients que nous sommes du potentiel commercial des programmes de la fédération reine de cette discipline et des produits dérivés qui en découlent. Nous notons donc, avec une grille d’évaluation qui est bien sûr aussi scientifique qu’indiscutable, à l’instar de notre notation financière, la quasi-totalité des segments de Smackdown et de Raw afin de noter le show entier, après de savants calculs et à l’aide d’une formule mathématico-financière aussi longue que l’avant-bras du Great Khali et bien évidemment incompréhensible pour le commun des mortels.

 

 

– Sinon, pour imager la grande taille de la formule, ils auraient pu aussi prendre l'exemple de ta teub, Dolph!

– Oui c'est ça beauté, mais sois gentille, va m'attendre dans un placard à balai en backstage.

 

 

Vous le savez surement, car vous êtes des lecteurs avisés, cultivés et à l’intelligence fulgurante, le système de notation le plus utilisé classe les produits en trois grandes catégories : AAA, pour les plus sûrs, ceux qui offrent le plus de garanties de remboursement, AA, qui correspond à une solvabilité moyenne et enfin A, pour les produits ou pays au bord de la faillite et dont les risques d’insolvabilité sont très importants. Il nous a bien sûr fallu adapter nos critères de notation et trouver une nouvelle échelle nous permettant de mesurer de façon infaillible la qualité du contenu des shows et, après moult réunions durant lesquelles nous avons brainstormé comme jamais nous ne l’avions fait auparavant (à part peut être lorsque nous avons accordé le Triple A à des Junk Bonds), un consensus s’est dégagé : nous allions noter les shows en utilisant la méthode dite du Triple H. HHH pour les meilleurs segments, ceux dont nous sommes sûrs qu’ils nous conduiront à des storylines de qualité ou à des combats épiques, le HH pour les contenus moyens et douteux, pouvant aussi bien déboucher sur une grosse bouse répétitive et déjà vue cent fois que sur une feud solide à condition que certains efforts soient réalisés et enfin, le H, jugeant un contenu parfaitement dispensable, raté, botché, ou touchant le fond du puits de la médiocrité.

 

 

Non, on ne parle pas de toi Kaitlyn.

 

 

Si vous êtes arrivés jusqu’à ce paragraphe, c’est que vous avez compris notre méthode de notation. Refermons donc cette parenthèse indispensable et plongeons-nous dans le vif du sujet ! Et commençons par…

 

 

Le show en un clin d’œil, la bullet points review :

 

  •  
  • Edge et Alberto Del Rio s’affrontent pendant près de treize minutes avant que le combat ne soit interrompu par la Nexus, qui envahit Smackdown. Mais sans Wade Barrett, annoncé en tournée en Europe ni John Cena, qui ne doit de comptes qu’au leader de la stable.

 

  • Big Show, Rey Mysterio et Kane se pointent pour montrer qu’ici c’est chez eux et virent les imprudents impudents. Dans la foulée, Teddie Long annonce que le main event du show sera un cinq contre cing, Nexus contre Edge, Alberto, Kane, Rey et le Big.

 

  • Dolph Ziggler est opposé au revenant JTG et lui règle son compte en quelques trois minutes. Après le match, Kaitlyn le rejoint sur le ring mais Vickie débarque, lance l’Excuse me ! le plus haineux de l’histoire de la WWE et gifle la bodybuildée qui tourne un peu trop autour de son mec.

 

  • En coulisse, Nexus marave Rey Mysterio. Un de moins pour le tag team match prévu en main event. C’est Kofi qui le remplacera. C'est maintenant sûr, c'est Otunga qui mène la Nexus ce soir.
  •  

 

-J'aurais bien commencé le match contre le Big Show puis contre Kane, tu sais, mais je pense que si c'est toi qui débutes, Justin, tu leur feras quand même vachement plus mal.

– Euh ok David, mais ça me rappelle vaguement quelque chose.

 

 

  • Drew McIntyre, Cody Rhodes et MVP s’affrontent dans un triple threat match dont le vainqueur sera désigné challenger numéro un de la ceinture intercontinentale. MVP l’emporte après un très bon combat de treize minutes.

 

  • C’est l’heure du fight entre Vickie et sa rookette. Le cougar lui règle son compte en trois minutes et en trichant, un pied sur la corde au moment de réaliser le tombé. Oh my god moment du show, un segment assez fun.

 

  • Il fallait donner un os à ronger à Tyler Reks et c’est le gentil Chris Master qui s’y est collé. Trois minutes furent nécessaires pour que le bad boy vienne à bout de l’homme qui faisait danser ses pectoraux.

 

  • En main event, Nexus affronte la Team Smackdow. Il faudra dix-neuf minutes aux supermen de la brand bleue pour bouter l’envahisseur hors des frontières de Smackdown. Nul besoin d’un ministre de l’identité nationale, Edge s’en sort très bien tout seul. Un spear sur Otunga et un autre sur Kane pour le fun et alimenter la storyline en cours et le match, pas inoubliable, est plié, le show est terminé.

 

 

Le show vient de se terminer, et comme tous les vendredi soir, Del Rio doit ramener la voiture à l'agence de location du patelin.

 

 

Le show résumé, passons maintenant à la notation (HHH, HH et H)

 

 

Triple H

 

Nos calculs accordent le HHH au combat d’ouverture entre Edge et Alberto Del Rio, cette note maximale englobant aussi bien le match en lui-même que le traitement des deux personnages au sein du show tout de bleu vêtu. Après avoir été assez critique au sujet des performances du mexicain démasqué, il me faut aujourd’hui battre ma coulpe et reconnaitre que Del Rio a tout pour devenir une des grandes figures de la WWE. Il a le talent in ring (ah ces kicks !), le charisme naturel et des expressions de visage que je trouve tout simplement désopilantes et qui collent parfaitement avec son gimmick. Quant aux décisions qu’il est amené à prendre au fil des shows, je les considère le plus souvent parfaites et surtout très logiques, comme ce fut encore le cas vendredi dernier lorsqu’il préféra abandonner la team Smackdown après un bump accidentel du Big Show, plutôt que de se coltiner la Nexus, l’honneur de sa brand étant quelque chose dont il n’a strictement rien à foutre. Si Alberto muscle un peu son micskill, il va faire très mal.  

 

Edge, lui, me parait être en pleine forme et même si la WWE a un peu tendance à abuser de ses spears, comme celui qui met hors d’état de nuire un mastodonte tel que Kane en fin de show, c’est un vrai plaisir que de le voir aussi over au sein du roster. Son charisme est décidément intact et sa présence prouve à quel point il manquait un grand main eventer à Smackdown. L’alchimie in ring entre les deux hommes, elle, n’est pas loin de friser la perfection et si pourra regretter l’interruption du match par la Nexus, on se consolera en se disant qu’ainsi, la crédibilité des deux superstars est préservée. Edge est une menace crédible pour Kane et Del Rio n’a pas perdu.

 

 

Pour se décontracter avant ses annonces, Ricardo Rodriguez fait toujours quelques pas de danse.

 

 

La feud entre Kaitlyn et Vickie. Bon nombre d’entre vous n’accorderaient peut-être qu’un simple H à ce segment bon enfant, mais nos ordinateurs sont formels : le fight entre les deux femmes mérite la note maximum, ne serait-ce que pour la formidable claque collée par Vickie à sa rivale. Evidemment, il ne fallait pas s’attendre à grand-chose concernant le combat. Kaitlyn est nulle (enfin, elle est jeune) et Vickie n’est pas une catcheuse, mais ce passage me rappelle furieusement les plus belles heures d’une autre Era, celles où deux filles réglaient sur un ring leurs différends amoureux et leurs histoires de mec. Et cela nous aura au moins permis de voir une Vickie plus furieuse que jamais, le visage déformé par la haine et encore auteure de quelques formidables Excuse me ! dont mes tympans se souviennent encore. Cette fille est devenue un élément incontournable de la WWE. Et elle le mérite amplement car elle n'a pas toujours la vie facile.

 

 

Excuse me? Si le nain me remord les fesses, je lui pète la gueule sur un ring! Je suis pas Chavo, hein!

 

 

Double H

 

L’invasion de Nexus par Smackdown. J’ai longuement hésité avant de trancher et de placer ce segment dans cette catégorie. Pour tout dire, j’hésitais entre le simple H et le double H mais les algorithmes sont formels, il n’est pas dit que ce segment soit un bide complet. Ce qui est gênant dans cette invasion c’est qu’elle me parait n’être qu’un revolver à un coup utilisé par l’équipe créative pour surfer sur la vague de la storyline du moment à la WWE. Je doute fort que cette invasion soit poursuivie dans les semaines à venir et je la considère plus comme un facteur de pollution de Smackdown qu’autre chose. Ce qui me dérange le plus, c’est que cette incursion d’une Nexus menée par Otunga au pays de la brand bleue, en l’absence de Barret et de Cena, n’avait in fine pour objectif que de faire avancer l’histoire à Raw, tout en parasitant la poursuite des storylines à Smackdown. Car on devine assez facilement que le leader de la stable désapprouvera méchamment l’initiative de ses troupes et leur remontera sévèrement les bretelles, ces quelques lignes étant écrites avant le visionnage du Raw de cette semaine. En gros, il y a fort à parier que ce segment servira plus les intérêts de l’histoire du conflit latent existant entre Barret et Otunga (donc les intérêts de Raw) tout en freinant la progression des storylines de Smackdown. Bref, j’aurais préféré que l’on s’attarde un peu plus sur la rivalité Kane vs. Edge plutôt que l’on rejoue un énième épisode de l’invasion, d’autant plus quand celui me parait voué à disparaitre dans les oubliettes des storylines mort-nées.

 

Du cinq contre cinq remporté par la Team Smackdown, il n’y a pas grand-chose à dire, si ce n’est que je l’ai trouvé un peu poussif et qu’il mérite amplement sa place dans la catégorie du Double H. Edge finit par mettre tout le monde d’accord, Kane y compris. Sauf que j’ai encore du mal à comprendre comment le géant rouge a pu souffrir autant du simple spear d’Edge. Je sais bien qu’il faut pusher le Canadien en vue de leur affrontement à venir, mais là, c’était un peu tout much.

 

 

Ouais mais si on m'enlève mon spear, il me reste quoi pour vaincre Kane, gros malins?

 

 

Le match entre JTG (débarrassé de ses lunettes de soleil) et Dolph Ziggler. Il fallait redorer le blason du champion intercontinental après ses trois défaites d’affilées contre Daniel Bryan. C’est chose faite et c’est le revenant JTG qui a servi de chair à canon au beau blond peroxydé. Ce qui sauve ce combat de l’ennui le plus total, c’est son finish : Dolph vient de placer son zig zag et son adversaire s’écroule à moitié inconscient sur le ring. Le décompte de trois n’est plus qu’une simple formalité mais c’est sans compter sur le vice du champion qui relève l’épaule de sa victime avant le fatidique « trois » de l’arbitre pour mieux lui appliquer son sleeper dans la foulée. Il fallait rebooker Dolph, l’objectif est accompli, c’est net et sans bavure à défaut d’être passionnant.

 

 

Vite Kaitlyn, J'ai enfermé Vickie dans un placard à balais, terminons ça dans les douches des filles, avec un peu de chance, on tombera sur Tiffany et Kelly Kelly, je me sens en plein forme.

 

 

Double H toujours, le triple threat entre MVP, Cody Rhodes et son ex compère The Chosen One (choisi, oui, mais pour jobber). Le combat en lui-même fut loin d’être déplaisant avec ces deux anciens potes qui hésitent à faire alliance pour se débarrasser du gros lourdingue de basketteur, s’allient finalement pour le tabasser et finissent néanmoins par perdre le combat. J’ai trouvé le match très sympa et je pense que personne n’en sort véritablement affaibli dans la mesure où les trois hommes ont eu chacun l’occasion de briller et auraient pu remporter cet affrontement donnant droit à un title match contre Ziggler. On est en fait ici assez proche du Triple H mais notre système informatique a refusé d’octroyer cette note maximale pour deux raisons : Il estime que la fin de la tag team Dashing Ones a été précipitée et bâclée et surtout, il trouve que ce MVP a vraiment une sale gueule et un pauvre gimmick qu’on ne souhaiterait même pas à notre pire ennemi. Ça paraitra peut-être sévère, mais cela justifie à mes yeux ce classement Double H. Plus sérieusement, cette issue heureuse pour Mister Ballin’ semble présager d’un nouveau push, ce qui ravira sûrement les quelques fans qui le soutiennent encore. Notons également que Montel a droit à une nouvelle musique d’entrée, certainement pour mieux accompagner son nouveau statut dans la carte. Etonnamment, je trouve ce thème song à chier et je lui colle un simple H sans hésiter, ce qui ressemble fort à une merveille de transition.

 

 

– Kaval, prends exemple sur moi, et tu auras ma carrière à la WWE.

– Heu, MVP, c'est à dire que… Rien de perso, mais j'en veux pas de ta carrière moi. J'ai pas envie de finir en Simple H.

 

 

 

Simple H

 

La participation de Kane au sauvetage de Del Rio et d’Edge au début du programme et à la Team Smackdown en fin de show. Je sais bien qu’il fallait sortir le géant rouge de l’isolement de sa feud fratricide, je comprends la nécessité de le faire interagir avec son prochain adversaire, Edge, mais Kane en sauveur de l’honneur de sa brand, ça ne cadre absolument pas avec le développement de son personnage depuis de longues semaines, c’est une formidable incohérence commise par des bookers toujours aussi faignants et jamais avares de grosses ficelles, bref, c’est complètement con. Kane n’avait décidément rien à foutre sur le ring entouré des faces de la brand.

 

 

Et la semaine prochaine, il offre des fleurs à Kelly Kelly?

 

 

Le combat entre Tyler Reks et  Chris Master. Ce n’est pas la première fois que je râle contre ces combats « bouche trou » qui ne bénéficient d’aucune storyline sur laquelle s’appuyer. Résultat ? A moins d’avoir deux killers in ring, on s’emmerde ferme. Il fallait pusher un peu Reks et c’est Master qui s’y est collé. Trois minutes plus tard, c’était déjà terminé. C’est tout ce que l’on retiendra de l’affrontement, ce qui est dommage car il me semble que ce Reks a du potentiel dans son rôle de heel brutal. Pour paraphraser Tsuru qui évoquait le sujet lors du dernier podcast des CDC, il serait sympa que la WWE se sorte un peu les doigts pour animer sa lowcard et sa midcard, le titre hardcore ayant effectivement été en son temps une façon plutôt sympa d’occuper le temps d’antenne de la partie de son effectif tenue éloignée des titres secondaires et principaux. Mais en l’absence de concurrence sur la planète catch, l’équipe de Vince n’en a visiblement rien à foutre.

 

 

Tyler Reks est tellement balèze et ses membres sont tellement lourds que l'arbitre n'arrive pas à lui lever le bras après sa victoire.

 

 

Après avoir mouliné et digéré toutes ces informations nos analystes ont finalement décidé d’accorder un HH et non un HH- (car la note finale intègre les + et le -) à ce show. Même s’il se situe sur la partie basse du double H, faute d’avoir réduit le temps d’antenne dédié à la storyline Kane vs. Edge, et faute de ne pas avoir pris la peine de se casser le cul pour sa midcard, cet épisode a néanmoins connu son lot de bon catch et de moments funs. Il ne mérite pas encore une dégradation trop sévère de sa note, même si nous jugeons sa situation encore un peu précaire. On nous paie des fortunes, pour ce type d’analyse.


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