Pourquoi je ne vais plus au cirque ou réflexions sur le temps qui passe avec des morceaux de Review du Rumble copiés-collés dedans (Oui, j’avais envie de faire un titre long)

Ça fait rire les enfants, ça dure jamais longtemps.

Ça fait plus rire personne quand les enfants sont grands.

 

Beau Dommage, La complainte du phoque en Alaska.

 

Bonjour à toutes et tous et bienvenue à la Spanish Announce Table, le seul endroit où sont nées les légendes, où les carrières ont été brisées et où je ne vais même pas essayer de faire semblant d'être jeune pour cet article.

 

 

Dommage que Tatanka n'ait pas fait son retour pour le Rumble, il n'aurait eu qu'à suivre la flèche.

 


Oui, je suis vieux et je vous l'avoue d'autant plus facilement que depuis que mon age a atteint sa première décimale, le Royal Rumble est pour moi, le seul, le vrai, l'unique match qui mérite d'être visionné chaque année : un vrai combat des rois que je ne peux m'empêcher de considérer attendri par mon regard de pré-adolescent découvrant le concept de cette battle royale qui ouvre la traditionnelle saison haute du catch et lance les premières pistes de son point culminant qui s'appelle Wrestlemania.

 

Nalyse du Royal Rumble

 

 

Ça fait rire les enfants, ça dure jamais longtemps.

Ça fait plus rire personne quand les enfants sont grands.

 

Beau Dommage, La complainte du phoque en Alaska.

 

Bonjour à toutes et tous et bienvenue à la Spanish Announce Table, le seul endroit où sont nées les légendes, où les carrières ont été brisées et où je ne vais même pas essayer de faire semblant d'être jeune pour cet article.

 

 

Dommage que Tatanka n'ait pas fait son retour pour le Rumble, il n'aurait eu qu'à suivre la flèche.

 


Oui, je suis vieux et je vous l'avoue d'autant plus facilement que depuis que mon age a atteint sa première décimale, le Royal Rumble est pour moi, le seul, le vrai, l'unique match qui mérite d'être visionné chaque année : un vrai combat des rois que je ne peux m'empêcher de considérer attendri par mon regard de pré-adolescent découvrant le concept de cette battle royale qui ouvre la traditionnelle saison haute du catch et lance les premières pistes de son point culminant qui s'appelle Wrestlemania.

 

Nalyse du Royal Rumble

 

 

Et chaque année, je trouve à y redire à ce Rumble, parce que je ne retrouve que rarement la magie de ceux qui m'ont fait vibré quand j'étais gamin et que Ric Flair remportait le titre dans un match historique de près d'une heure qui ressemblait à une épopée fantastique. Comme un adulte qui va au cirque et découvrirait subitement que le vertigineux trapèze volant de ses souvenirs n'est qu'à deux mètres du sol.


Alors, à chaque fois, c'est la même chose. Le Rumble me déçoit mais je ne sais jamais si c'est parce qu'il est mauvais ou si c'est juste parce que j'ai perdu ma capacité à rêver et que je suis désormais suffisamment grand pour déceler les ficelles du métier d'un booker.

 

 

Toi aussi, joue à retrouver le catcheur qui n'a rien à foutre sur cette infographie parce que même à 40 participants, il n'y a pas de place pour Trent Baretta dans le Royal Rumble.

 


Il n'empêche qu'il y a, quand même, un certain nombre de trucs qu'il va falloir m'expliquer. Tiens le match des divas par exemple, transformé à la toute dernière minute d'un handicap-match en un fatal-fourway. Si je n'ai rien contre le Deus Ex-Machina d'un AGM anonyme omnipotent, j'ai un peu plus de mal à comprendre pourquoi il a pris une décision qui a ajouté à Eve à la liste des participants : ça ne désavantageait pas Lay-Cool plus que ça, pénalisait clairement la championne en titre et surtout ne tombait pas forcément sous le sens au vu des rapports de force au sein du Roster de RAW où Mélina était, au moins, aussi légitime.


Cet ajout un peu incongru était d'autant plus dommage que le match était plutôt bien foutu: il racontait deux histoires simples mais toujours efficaces: celle d'une possible rupture entre les deux meilleures du monde que sont Layla et Michelle et celle d'une championne héroïque, Natalya, qui ne lésine pas devant le challenge et donne le maximum, notamment en appliquant un double sharpshooter. L'exécution, sans être extrêmement spectaculaire, avait de la tenue et la fin, avec une victoire surprise d'Eve qui réalisait le tombé sur Layla pendant que Michelle se lamentait que l'arbitre ne compte pas le roll-up qu'elle portait à Nattie.

 

 

Dis, donc, j'ai bien fait de venir. Moi qui croyait devoir faire un segment backstage avec les frangins Usos, me voilà championne.

 


Allez, comme le match était bon, on va faire abstraction et se dire que le choix de la nouvelle championne est mû par un intérêt supérieur qui aura tout son sens dans le futur, mais un petit peu plus de préparation à cette option n'aurait pas fait de mal.


Tiens d'ailleurs, toujours sur le même thème, vous avez-vu le match entre Randy Orton et Le Miz ?

 

 

Elle, elle l'a vu ce match, on dirait…

 

 

Le match était assez bon, tout aussi long, et correspondait assez bien aux personnages développés par les deux performers. Personnellement, j'avoue que vingt minutes de match entre ces deux-là ne m'intéressent pas et ont tendance à m'endormir. Le Miz, en tant que champion heel, qui peut perdre à tout moment mais s'en sort toujours à la fin, ne m'a toujours pas conquis, surtout que son seul moyen de s'en sortir dans les situations périlleuses est bien souvent une intervention extérieure (que ce soit Alex Riley ou Michael Cole) et je n'adhère toujours pas au concept d'un Randy Orton, babyface qui n'ose pas avouer son nom mais a quand même étoffé son move-set (Olympic Slam et Superplex) pour gagner le support du public pendant les matchs (ce qui n'est pas plus mal).


Une nouvelle fois (et avant que le Miz ne reparte en feud contre un nouvel annonceur décati, il paraît que Jim Ross ne s'est pas trop mal remis de sa seconde attaque hémiplégique), le champion a triomphé grâce une intervention extérieure : celle du New Nexus qui permet une attaque en traître de Riley. Orton déjouant les deux d'un coup et étalant le champion d'un RKO avant de succomber d'un Go To Sleep porté par CM Punk qui s'impose de plus en plus comme le top-heel du show.

 

 

En même temps, un match aussi soporifique ne pouvait que se terminer par un Go To Sleep, non ?

 

Oui, donc, visiblement, le Nexus et Punk sont plus ou moins en feud avec Orton et rodent autour du titre. Le truc semble un peu sorti de nulle part et on aurait bien aimé être un peu préparé à cette option par une déclaration d'intention un peu claire mais bon, allez, on va pas faire la fine bouche – d'autant plus que ça me permet de faire des reviews flemmardes où je copie-colle mes conclusions d'un match à l'autre.


Par contre, je vais éviter d'être flemmard pour causer de l'opener, le match pour le WHC entre Edge et Dolph Ziggler valait vraiment le coup d'œil et son pesant de cacahuètes. Il y avait très longtemps (un an exactement même) qu'Edge me semblait au dessous du niveau qu'il avait avant sa blessure au tendon d'Achille et la WWE n'avait finalement pris que très peu de bonnes initiatives avec lui, en le ménageant et ne lui offrant comme adversaires qu'une grande majorité de gens avec qui il avait déjà des automatismes. Ce n'est visiblement pas ce qu'il lui fallait puisque ses deux meilleurs matchs depuis un an (hormis son match de Wrestlemania) il les a fait face à des nouveaux venus. Ce Triple Threat avec Rey Rey et Alberto del Rio et maintenant ce match contre Dolph prouvent qu'Edge s'épanouit plus au contact des jeunes talents.

 

 

Excluvité des Cahiers du Catch : Rey Mysterio sans masque !

 


La stipulation imposée par Vickie Guerrero, omniprésente en ringside, lui interdisait d'utiliser le spear et franchement, c'était une sacrée bonne chose pour le match. Entre deux tentations évidentes d'utiliser son finisher, le champion a déroulé toutes les raretés de son moveset ce qui était fort appréciable (notamment cet Edgecator) et m'a un peu donné l'impression de réécouter les morceaux de mon groupe préféré en ne me consacrant qu'aux faces B de leurs 45 tours (Oui, j'ai dit dès le départ que j'étais vieux et oui j'ai connu cette antiquité qui s'appelle le disque et les miens avaient deux faces !!). Cet excellent opener s'imposait tranquillement comme le show-stealer de ce Pay per View et probablement l'un des plus sérieux candidats jusqu'à maintenant au titre de Match of The Year jusqu'au moment où Vickie a fait sa première intervention, en s'en prenant à l'arbitre.


A cet instant précis et sans qu'on ait la moindre idée de pourquoi, Kelly Kelly a bondi sur elle pour créer une diversion qui permettra un finish où l'arbitre se prend un ref-bump tandis que Vickie est occupée. Le champion place alors un spear avant de simuler le fait d'être touché et de récupérer au moment opportun (le « réveil de l'arbitre ») pour placer un Killswitch, un mouvement emprunté à son ami Christian fort à propos. Joli finish, propice aux rebonds, donc, mais quelqu'un peut m'expliquer depuis quand Kelly Kelly a suffisament de choses à reprocher à Vickie Guerrero pour venir lui pourrir la vie en plein milieu d'un Pay per View ?

 

 

Quelqu'un sait pourquoi je viens de faire ça ? Ou on attend que les auteurs trouvent un prétexte pour vendredi prochain ?

 


Bon, je vous le copie colle ? Ou c'est pas la peine ? Allez dans le doute : Le truc semble un peu sorti de nulle part et on aurait bien aimé être un peu préparé à cette option par une déclaration d'intention un peu claire mais bon, allez, on va pas faire la fine bouche – d'autant plus que ça me permet de faire des reviews flemmardes où je copie-colle mes conclusions d'un match à l'autre – .


Voilà, donc, l'état des lieux et des forces en présence avant le plus grand Royal Rumble de tous les temps, le premier à être réalisé avec 40 athlètes. Sans rentrer dans les détails, je vais quand même vous raconter les six temps du match. Tout a commencé avec un faux départ en forme de baston entre le Nexus de Punk, convoqué avec le numéro 1, et le Corre qui avait décidé d'en découdre avant le premier coup de cloche. Après une remise à plat et un appel au calme de l'AGM, rentre enfin le numéro 2 : Daniel Bryan. Ce Rumble commence donc comme un énorme cadeau aux smart fans qui vont pouvoir se palucher en contemplant les exploits de ex-champions de la ROH. Le ring se remplira alors pour se vider aussitôt (Zack Ryder, Justin Gabriel), la narration insistant sur l'idée que ces deux compétiteurs là ont ce qu'il faut pour aller au bout. Histoire d'ajouter au côté rencontre de rêve arrivera alors William Regal (qui se prendra un mémorable déluge de coups de pieds bien stiffs de Bryan ) et le ring va alors commencer à se remplir progressivement de gens au profil un peu plus conséquent et appelés à rester plus longtemps dans le ring.

 

 

Je tiens entre mes mains ma lettre de démission, si personne ne m'explique pourquoi j'ai été remplacé par Josh Matthews à Smackdown, je l'envoie … Je vous préviens …

 


Enfin, rester plus longtemps, c'est un bien grand mot puisque John Morrison se fait éjecter dans ce qui restera le « spot of the night » : poussé hors du ring, il se réceptionne tel Spiderman (ou n'importe quel autre superhéros, peu importe, le mouvement qu'il a réalisé n'étant clairement pas à la portée d'un être humain ordinaire) au mur de protection des spectateurs avant de revenir tranquillement dans le ring par l'escalier sans qu'un seul de ses pieds aient touché le sol.


Tout ça pour dire que ce premier temps du Rumble est chargé de détacher des favoris de la première heure (Punk, Bryan, JoMo) et de remplir progressivement le ring de compétiteurs. Jusqu'à l'arrivée d'Husky Harris (9 éme entrant soit 11 minutes 30 après le début) qui va progressivement changer la donne du récit dans le ring en se mettant au service de son leader/gourou : CM Punk. Le ring va alors continuer à se remplir (Un clin d'oeil spécial à Chavo Guerrero qui a enchaîné les souplesses en hommage tous ces amigos qu'on ne verra plus jamais dans un ring) mais le récit va changer imperceptiblement puisque le chef du Nexus va être protégé par son ou ses sbires (puisque Harris se verra bientôt secondé par MMGC et David Otunga). La machine Nexus est alors en marche et ce n'est pas étonnant de voir une équipe de quatre hommes organisés imposer sa loi dans un ring progressivement vidé de ses participants. Fin du Temps Deux avec l'arrivée d'Otunga en participant numéro 15 (au bout de 20 minutes 30).

 

 

Il y a vingt quatre ans, la femme de l'IRS couchait avec Yokozuna pendant que son mari jobbait pour Hulk Hogan.

 


Le Temps Trois du Rumble qui succède à ces deux premières parties est celui de l'über-domination du Nexus qui éjecte avec 4 membres tout ce qui se présente devant lui en ne faisant qu'un bouchée de Tyler Reks, Vladimir Kozlov & R-Truth. Même l'irruption du Great Khali qui élimine Harris ne semble pas enrayer la machine de Punk puisque l'arrivée de Mason Ryan (Batistwo pour les intimes) compensera cette perte et même Booker T, de retour sous une pop stratosphérique, ne pourra résister au Nexus.


La domination du Nexus continuera jusqu'à l'arrivée de John Cena au numéro 22, soit 30 minutes tout rond après le début du match (vous comprenez pourquoi je me suis ingénié à vous chronométrer les divers chapitres du Rumble, ils sont réglés en tranches de dix minutes). Temps Quatre. Le Marine, dans son jardin de Boston, nettoyera alors conscieusement le ring histoire de signifier le début du temps quatre. Il sera assez vite rejoint par Hornswoggle qui l'assistera dans son entreprise qui consiste en gros à faire seul et en assurant le babysitting d'un nain ce que Punk et trois autres costauds avaient fait ensemble. La séquence durera certes un peu moins longtemps, Hornswoggle sera parfois un renfort (il effectuera un attitude adjustement sur Tyson Kidd) mais globalement l'idée est à peu près la même. Le ring commencera alors à se remplir de nouveau progressivement de compétiteurs sérieux.

 

 

La rédaction toute entière des Cahiers du Catch compatit suite au calvaire de Tyson Kidd qui a vu s'évaporer tout reste de crédibilité in-ring à cet instant précis.

 


Il faudra cependant attendre l'arrivée de Rey Rey (en numéro 29 à 40 minutes 30 donc) puis de Wade Barrett pour que Cena commence à apparaître comme un challenger comme un autre et non pas un favori indscutable. Temps Cinq : Avec l'ancien vainqueur du rumble, deux autres ex-champions du monde (Swagger & Sheamus), le champion intercontinental en titre, le chemin vers une victoire certaine semble compromis pour le gars de Boston et on revient à une situation assez comparable au temps 1 avec des favoris qui se détachent, des outsiders qui font bonne impression, une « légende » qui fait un petit passage (Kevin Nash en Diesel).

 

 

Vu sa vitesse, ce n'est pas "diesel" qu'on devrait l'appeler mais carrément "à pédales".

 


Entre alors en scène le Big Show dont le gabarit et la longue série d'invincibilité fait figure d'épouvantail et présage d'un ring qui se vide. Début du Temps Six. 35ème Position (donc 49 minutes 30). Le mastodonte ne durera cependant pas longtemps dans le ring (2 éliminations en une minute trente de présence) puisqu'il succombera sous les coups de son successeur: Big Zeke, toujours booké aussi fort. La séquence de conclusion peut alors commencer avec l'entrée des derniers participants tandis que Miz est aux commentaires et que Kane rentre en dernier dans le ring.

 

La conclusion s'amorce avec un face à face Cena/Orton dont le public se fout assez royalement (j'espère que Vince a pris des notes pour Wrestlemania), une intervention du Miz qui projette le Marine hors du ring, Orton qui fait son show et vient à bout de Sheamus, Barrett et Kofi (Stupid!) tandis qu'Alberto Del Rio se fait oublier et remporte le match au finish. Oh, non Alberto n'a pas gagné, on avait oublié Santino qui n'était que passé par dessus la seconde corde et arme le cobra dans son dos mais en vain, hélas pour lui, ça ne suffira pas et le mexicain ira bien à Wrestlemania tandis que son annonceur personnel hurle sa joie (et des insanités probablement) en espagnol.

 

 


En même temps, si tu fais un Ball'In, c'est normal de ne pas gagner un match.

 


Ce qui me dérange dans ce Rumble, c'est finalement son espèce de « fausse perfection » : son découpage bien net en période de temps régulières, sa symétrie narrative avec un faux départ qui trouve un écho dans la fausse fin, l'enchaînement bien opportun des arrivées qui permet des séquences où le ring est nettoyé, le territoire délimité à l'intérieur même du Rumble qui permet à chacun de faire son petit numéro : Booker T qui déroule son moveset et son spinnarooney dans le temps imparti avant que tout reprenne son cours comme si de rien n'était, Chavo qui fait un Triple Three Amigos durant ses deux minutes de présence, Hornswoggle qui déroule une jolie partition de comedy match au moment opportun, en parallèle avec le temps fort de John Cena. Ce n'est d'ailleurs pas étonnant parce que ce sont les deux personnages qui polarisent finalement le plus le public : ceux qui sont pour et ceux qui sont contre sont a priori les mêmes.


Pour sûr, ce Rumble était bon. Mais il sentait trop le travail, la réflexion, le découpage minutieux, l'écriture longuement pesée et pas assez la sueur ou la fantaisie. C'était une machinerie trop bien huilée pour moi et elle n'a pas réussi à me donner ce que j'aime d'habitude dans le catch : ce sentiment de voir ce truc imprévisible qui s'appelle le sport et qu'on regarde en retenant son souffle parce que tout peut arriver. Ce Royal Rumble là, ne m'a redonné mes yeux d'enfants que pendant les 10 secondes où John Morrison a réussi un grand numéro à l'extérieur du ring (ce qui en soi est un paradoxe, non?). Le reste était de la belle ouvrage, certes mais ps un truc qui donne envie de se lever de son siège.

 

 

Déjà viré de la WWE puis repris, un long passif de suspensions pour violation de la Wellness Policy, Chris Masters a quand même le profil idéal pour un numéro 14 apte à poursuivre la malédiction.

 


Et, comme en plus de ce Rumble trop millimétré (voire même millisecondé) à mon goût, la WWE a rendu une copie assez étrange avec des matchs de championnats plutôt costauds mais tous gâchés d'une manière ou d'une autre par une incongruité sortie de nul part, j'ai l'impression de partir sur la route de Wrestlemania du mauvais pied. Si je tolère et apprécie l'imprévu dans l'action in-ring, j'aime bien au contraire que l'on me sème des indices et me donne des explications dans des storylines cohérentes. Et là, ce n'était pas le cas, ce qui est d'autant plus génant que les histoires de Nexus, New Nexus et de Corre sont déjà assez confuses et que je cherche toujours la raison qui a poussé Wade Barrett et sa bande à aider Kane à se débarasser de l'Undertaker il y a quatre mois.


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