Un seul Edge vous manque…

I’ve been defeated and brought down,
dropped to my knees when hope went…

Alter Bridge, Metalingus (chanson d’entrée d’Edge)

 

Un Raw relancé, un Smackdown électrique, des Divas qui suscitent à nouveau l’espoir… Toutes ces bonnes nouvelles pâlissent face au choc du weekend: la blessure longue durée d’Edge, qui nous prive de notre opportuniste préféré au moins jusqu’à la fin de l’année. Espérons qu’il reviendra plus fort.

 

 


C’est décidé, ma nouvelle prise de finition sera le big boot.

 

 

Analyse de Smackdown du 3 et de Raw du 6 juillet


I’ve been defeated and brought down,
dropped to my knees when hope went…

Alter Bridge, Metalingus (chanson d’entrée d’Edge)

 

Un Raw relancé, un Smackdown électrique, des Divas qui suscitent à nouveau l’espoir… Toutes ces bonnes nouvelles pâlissent face au choc du weekend: la blessure longue durée d’Edge, qui nous prive de notre opportuniste préféré au moins jusqu’à la fin de l’année. Espérons qu’il reviendra plus fort.

 

 


C’est décidé, ma nouvelle prise de finition sera le big boot.

 

 

Analyse de Smackdown du 3 et de Raw du 6 juillet

 

 

Aux Cahiers du Catch, nous essayons généralement de suivre le rythme des retransmissions: Raw le lundi, ECW le mardi, Superstars le jeudi et Smackdown le vendredi. Seulement, nous le savons bien, les shows sont loin d’être toujours diffusés en direct. Ainsi, pour cause de tournée aux antipodes, les enregistrements de cette semaine et de la précédente ont-ils été précipités. Nos clowns favoris étaient attendus en Australie.

 

 


Quand Maryse va à l’opéra, y a du monde au balcon.

 

 

Rapide chronologie de la semaine écoulée: le lundi 29 juin a eu lieu le direct du Raw de ce soir-là, mais aussi, dans la foulée, l’enregistrement de celui qui a été diffusé lundi 6 (et accessoirement celui de deux épisodes de Superstars). Le lendemain, mardi 30, s’est tenu l’enregistrement de l’épisode de Smackdown diffusé vendredi 3. Mercredi 1er a été enregistré le Smackdown qui sera diffusé vendredi 10. Et deux jours plus tard, vendredi 3 donc, pendant un house show tenu à San Diego, Edge s’est déchiqueté le tendon d’Achille lors d’un match contre Jeff Hardy. Son absence est estimée à sept mois et on plaint déjà le personnel médical qui devra s’occuper de lui.

 

 


Ecoutez, M. Edge, soyez raisonnable. Je ne peux pas vous installer un fusil mitrailleur dans le bras.

 

 

Profitons donc bien du Smackdown prochain, c’est le dernier d’ici à 2010 où on verra en action la superstar classée X la plus extravagante depuis Giant Coocoo. S’il est trop tôt pour spéculer sur les conséquences à moyen terme de sa blessure (l’animal est une telle bête de scène qu’on ne serait pas étonnés de le retrouver rapidement aux bords des rings, même en fauteuil roulant), il est évident que, dans l’immédiat, son indisponibilité devrait entraîner un effet domino. N’oublions pas que Edge et Jericho devaient défendre leur titre de champions par équipes face à Rhodes et DiBiase à Night of Champions… Si Jericho n’abandonne pas purement et simplement son titre de champion par équipes pour se concentrer sur la reconquête du titre Intercontinental, alors il devra se trouver un nouveau camarade de jeu, probablement un midcarder heel de Smackdown qui serait ainsi élevé à un statut plus enviable (le nom de Ziggler, victorieux de R-Truth vendredi, vient immédiatement à l’idée). On peut aussi imaginer un transfert express venu d’une autre brand, et Christian, moyennant un heel turn, serait l’homme idoine pour le rôle. Quoi qu’il en soit, le temps presse: au prochain ppv, Night of Champions, tous les titres sans exception devront être défendus. On a hâte de voir ce que Jericho va nous concocter.

 

 


Playa, M. McMahon veut que je l’impressionne, alors j’ai décidé que tu défendrais ton titre par équipes tout seul contre les Brothers of Destruction.

 

 

Mais la longue absence d’Edge, c’est aussi un trou béant dans l’upcard de Smackdown, réduite présentement au duo CM Punk – Jeff Hardy, puisque Jericho et Mysterio s’expliquent à l’étage au-dessous, celui de la ceinture IC. La nature a horreur du vide et adore les beaux gosses: on ne serait pas surpris de voir John Morrison se mêler à la lutte, d’autant qu’il a clairement mentionné son ambition de défier le vainqueur du prochain Punk – Hardy. Bon, il l’a fait en dansouillant avec Teddy Long sur un medley de Michael Jackson, mais ça compte quand même.

 

 


– Je suis tellement Dangerous que quand je regarde le Man in the mirror je vois un Speed demon, aussi Unbreakable qu’Invincible, alors Give in to me!
– Heu, Leave me alone, s’il te plaît.

 

 

Il y en a deux qui ne vont pas venir se mêler à la lutte pour le titre suprême de sitôt, et c’est heureux: c’est Kane et Khali, partis comme on le savait depuis the Bash pour une feud probablement très soporifique. Vendredi dernier, on a vu Kane battre Mysterio avant de s’enfuir dans les travées à la vue du mastodonte du Pendjab. Ils sont loin, les grands jours de l’indestructible Big Red Machine…

 

 


Grands Dieux! Khali vient d’apparaître en haut de la rampe d’entrée et marche vers le ring! D’ici à peine une heure, il sera là! Fuyons pendant qu’il en est encore temps!

 

 

Autre regret sur ce Smackdown: la défaite inaugurale des Harts face aux Cryme Tyme, d’autant que les hommes en rose et noir n’ont pas vraiment marqué les esprits pour leurs débuts. Espérons qu’ils sauront monter en puissance et profiter à plein du grand chambardement qui s’annonce dans la division par équipes. Espérons aussi que « Word Up », le show des insupportables apprentis gangsters, soit à nouveau confiné au site de la WWE au plus vite, on peine à voir l’aspect comique du truc…

 

 


A voir la gueule de l’arbitre, on n’est pas les seuls que les Cryme Tyme emmerdent royalement.

 

 

Enfin, le combat Finlay – Ortiz ne nous a pas spécialement émoustillés non plus. Ces deux-là feraient mieux d’être inscrits dans des feuds plus larges que de jouer leur carte en solo: Ortiz a une gimmick un peu bizarre de « motivational speaker » heel — il incite le public et l’adversaire à adopter une bonne attitude, à y croire, etc, ce qui ne l’éloigne pas beaucoup d’un Cena, d’ailleurs; quant à Finlay, il aurait peut-être fallu lui donner un peu de temps au micro pour qu’il explique ce qu’il entend faire à Smackdown. Bon, on sait, en fait. Finlay « loves to fight » et veut juste se castagner de nouveaux adversaires, après des années à l’ECW. Why not, après tout.

 

 


Finlay a tapé. Finlay content. Maintenant, Finlay taper quelqu’un d’autre.

 

Côté Divas, comme on l’avait pressenti à la vue de la mini-draft qui a envoyé Gail Kim et Alicia Fox à Raw, la division se cantonne désormais presque entièrement à Melina et Michelle McCool. Appelées à leurs côtés ce vendredi, Maria et Layla ont vite montré leurs limites. Elles ne possèdent ni l’extraordinaire élasticité de Melina, ni l’assurance d’une McCool qui prend de l’envergure à chaque apparition. Natalya devrait rapidement sortir de son rôle de porteuse de serviette pour son mec et son cousin, et venir se mêler à la lutte. Quant à Maria, on est assez impatients de voir où conduit son segment backstage avec Ziggler: si on a bien compris, les deux avaient fait la java ensemble la nuit précédente, mais avaient oublié de se présenter. Rien de tel pour que le public s’identifie.

 

 


Alicia avait pas eu le temps de te briefer? Ton rôle, c’est de me regarder avec admiration et de te faire démolir à ma place.

 

 

Mais le cœur de l’intrigue à Smackdown, à savoir le turn progressif de CM Punk, continue de nous tenir en haleine. Quel plaisir de voir un turn se faire jour semaine après semaine, à une époque où bon nombre de retournements se produisent sans aucune explication (ceux de Morrison et de Mark Henry en fournissant les derniers exemples en date). Dans la foulée de sa blessure à un œil au Bash, qui lui avait permis de conserver la ceinture par disqualification, Punk a une nouvelle fois semé le trouble dans l’esprit embrumé de Jeff Hardy, forcé de catcher en équipe avec lui. Refusant le tag à plusieurs reprises à cause de son œil endommagé, le champion a fini par obtenir la monnaie de sa pièce, quand un Hardy excédé par ce qu’il perçoit comme de la comédie de bas étage a feint à son tour d’être blessé à l’œil, laissant Punk se faire démonter dans le ring par Edge et Jericho. Il reste encore trois épisodes de Smackdown d’ici à Night of Champions, et la creative team a bien raison de prendre son temps avec l’évolution de Punk, mais on ne serait pas surpris que d’ici le prochain ppv, il soit devenu un heel froid et méthodique.

 

 


Punk, tu m’inspires pas confiance. Je fais pas confiance aux gens qui ne se peignent pas le visage.

 

 

En matière de heel froid et méthodique, les anciens ont eu droit à une grande bouffée de nostalgie avec le passage très réussi de Ted DiBiase senior à la tête de Raw. Au temps de sa splendeur, le Millionnaire du Ring incarnait à merveille la raclure finie, dans toutes ses facettes: brutal et vicieux en ring, manipulateur en coulisses, s’entourant d’une garde rapprochée pour obtenir ce qu’il désirait, froussard devant la juste colère des Faces… autant de traits de caractère qui devraient le voir apprécier Randy Orton.

 

 


Et je vous l’annonce, public: un jour, le messie viendra, et ce connard qui m’interviewe là, il prendra un gros punt kick dans la tête!

 

 

Manque de pot, le guest host du dernier Raw a aussi le sens de la famiglia, et son souci premier, ce lundi, aura été de pusher son fiston. Quand il a annoncé un match opposant le jeune Ted au champion, on a craint le pire: un face turn immédiat de junior qui lui permettrait de promouvoir le cœur léger son « The Marine II » (rien à voir avec Hénin-Beaumont, heureusement). Mais tout ne s’est pas passé comme prévu: si DiBiase a effectivement combattu Orton, soucieux de lui montrer qu’il avait le niveau, il a perdu à la régulière, et Orton, encore une fois sublime dans le storytelling, a oscillé tout le match durant entre la pitié (chaque fois qu’il avait Ted à sa merci) et la rage (quand ce dernier commençait sérieusement à se débattre). Il l’a finalement battu presque à regret, dans un combat très réussi qui a prouvé que DiBiase était un catcheur intéressant (on viendrait presque à l’oublier) et qui a présenté Orton exactement comme il devrait l’être: un champion supérieur, sûr de soi et relativement protecteur à l’égard de ses deux jeunes complices…

 

 


Bon, Ted, c’est fini ce gros caprice?

 

 

Le Millionnaire a également mis la Legacy face à ses contradictions: comment osent-ils se présenter comme la faction la plus douée du roster s’ils ne font pas la loi? Cody Rhodes a donc dû répondre de sa grande bouche face à Mark Henry. Dès lors, la meilleure chose à faire était sans doute de le faire fuir, car Henry ne pouvait décemment pas perdre un tel match, et un squash de plus aurait affaibli la Legacy. On aurait toutefois pu rêver d’un peu plus de combativité et d’attaques de la part de Rhodes, mais on chipote. En revanche, on a adoré le rappel, par le père DiBiase, de la sainte horreur que lui a toujours inspiré Dusty « the American Dream » Rhodes, père de Cody (et accessoirement de Goldust), certes catcheur de légende mais surtout gros porc repoussant à la chevelure inqualifiable.

 

 


Tu sais ce qui me fait vomir, Dusty? L’idée que mon fils puisse un jour être pote avec le tien.

 

 

Quoi qu’il en soit, la Legacy tient toujours, puisque Ted s’en est pris à son père pour l’avoir collé dans un match face à Orton (ponctuant l’explication d’une gifle aux allures de parricide), avant de rejouer au toutou du champion en fin de soirée, aux côtés du fidèle Rhodes, pour interrompre le combat HHH / Cena dont le vainqueur devait affronter Orton à Night of Champions. Objectif: obtenir un no-contest en vertu duquel ni le Marine I ni le beau-fils de qui-vous-savez ne serait déclaré « challenger numéro un ». Evidemment, il n’en a rien été et c’est un triple threat qui a été proclamé.

 

 


Super plan, Randy, vraiment. Je suis super content que mon fils passe du temps en ta compagnie, il doit apprendre plein de choses avec un génie tactique pareil.

 

 

Les deux supermen se sont livré un match moins ennuyeux qu’on aurait pu le craindre de leur part, même s’ils ont passé autant de temps à catcher qu’à tendre l’oreille, guettant le soutien du public. Mais l’issue — match sans vainqueur et Triple Threat HHH / Cena / Orton à Night of Champions était terriblement prévisible. D’ailleurs, nous écrivions la semaine dernière: « on prend les paris sur leur combat de lundi prochain: il y aura un no-contest qui aboutira à un triple threat de ces deux-là contre Orton. » Rien de nouveau à l’horizon: c’est exactement la même configuration que celle précédant Wrestlemania XXIV, quand Orton, champion, a défendu son titre avec succès face aux mêmes Cena et HHH.

 

 


-Dommage que Batista soit blessé hein? Sinon on aurait fait un combat à quatre!
– Ah ouais, pas con!

 

 

Il n’empêche que le dernier épisode en date de Raw permet de croire à un renouvellement prochain du casting au haut niveau: Evan Bourne (auteur de sa première Shooting Star Press à Raw) et Kofi Kingston ont encore voltigé avant de se faire aplatir par le Big Show — tant qu’on le garde loin de Mark Henry, nous on est contents — et surtout Jack Swagger et MVP, sans catcher, ont laissé entrevoir un très bon potentiel.

 

 


Et on ne parle pas forcément du déguisement du All-American American pour le 4 juillet.

 

 

Bon nombre de stars de la WWE ont effectué des passages plus ou moins longs derrière les barreaux, pour des raisons diverses, de la conduite en état d’ivresse aux dégradations d’avions, en passant par le tabassage d’épouses. A notre connaissance, dans le roster actuel, seuls deux catcheurs ont passé plus que quelques jours en taule: R-Truth (près d’un an) et surtout MVP, Alvin Burke dans le civil: neuf ans, pour braquage. Son histoire édifiante est bien connue: la rédemption par le catch, comme dans un mauvais scénario hollywoodien, grâce à un maton fan de la WWE. A sa sortie, c’est en vivotant de ses muscles en guise de vigile de boîte que Burke, voyant défiler des pelletées d’athlètes pros arrogants et tellement bling bling que, à côté, Sarkozy passerait pour un anachorète, a conçu le personnage de MVP: un sportif à l’orgueil démesuré, persuadé d’être le centre du monde.

 

 


Ouais salut c’est ici le Real Madrid? Vous pouvez m’avoir pour 94 millions et un centime!

 

 

Depuis son arrivée à la WWE, son histoire personnelle avait parfois été évoquée, mais jamais aussi clairement que dans son altercation avec Swagger ce lundi: propre sur lui, le blondinet au rictus de WASP golfeur a refusé d’écouter les admonestations de MVP, lui rétorquant qu’il n’avait pas de leçons à recevoir d’un taulard. Ce dernier a répondu avec conviction qu’il assumait son passé, qu’il regrettait ses erreurs et espérait que son expérience servirait à d’autres. Un discours d’autant plus crédible qu’il semble réellement correspondre au credo de l’homme Alvin Burke, pour ce que l’on sait de lui à travers ses interviews « shoot », comme celle donnée à l’excellent Kevin Eck sur ses Ringposts . C’est peut-être le moment pour lui d’abandonner une gimmick usée et particulièrement inopérante en Face pour incarner l’homme qu’il est réellement, un taulard repenti et déterminé à désormais marcher la tête haute. Face à un tel modèle de rédemption « à l’américaine », un Swagger jouant de son excellente éducation universitaire et de son mépris de classe envers les enfants des ghettos pourrait susciter une immense « heat » de la part de la foule. On aurait droit à une belle et fraîche feud, surtout si dans le même temps Swagger se rapproche d’Orton, comme il en a exprimé l’intention lundi dernier.

 

 


– Hé, blondin, les gars dans ton genre, en taule, tu sais comment on les appelle?
– J’sais pas, « le mec qui baise ma femme pendant que je croupis ici »?

 

 

En effet, une place pourrait bien se libérer au sein du clan des jeunes, car même si DiBiase est revenu dans le giron de la Legacy, son clash avec le champion semble irrémédiable. On ne sait d’ailleurs quels enseignements tirer de cette vidéo enregistrée à l’issue du dernier Raw, qui voit DiBiase, mais aussi Rhodes, laisser Orton seul aux mains de Cena et HHH. La ceinture par équipes étant plus accessible que jamais pour les deux Priceless, peut-être délaisseront-ils Randy pour opérer tous les deux un Face turn? Auquel cas, en sus de Swagger, Orton pourrait bien chercher à rallier Carlito, qui a éclaté son loser de frangin lundi dernier après une défaite de trop… A la différence de Swagger, Carlito a le sang bleu nécessaire pour incorporer la Legacy, mais ce critère pourrait être purement et simplement abandonné en faveur d’une gimmick de « clan des jeunes heels ». Quant à Primo, il risque fort, à l’issue de la feud fraternelle qui s’annonce, de rejoindre dans les placards de la creative team la cohorte des voltigeurs délaissés (Kendrick, Jamie Noble et autre Chavo Guerrero)…

 

 


En vérité, Carlito avait juste envie de changer de t-shirt.

 

 

Un dernier mot sur les Divas de Raw: ici, à la différence de Smackdown, il y a embouteillage. Orpheline de McCool, Alicia Fox s’est vite trouvé une autre championne aussi méchante que blonde en la personne de Maryse. Les deux ont affronté Mickie James et Gail Kim dans un match sympathique dont l’enseignement premier est le tombé effectué par Kim sur la championne en titre. La fin du purgatoire pour l’ex-Knockout de la TNA? A voir (elle avait aussi commencé très fort à Smackdown), mais si l’on ajoute Beth Phoenix et même Kelly Kelly au tableau, on se dit que la division féminine du lundi soir a de la ressource.

 

 


Quel que soit leur âge, les filles n’aiment rien tant que de se déguiser en princesses.

 

 

Bref, même si le show principal a été conclu par un énième Triple H – Cena, on a l’impression que l’eau bout de plus en plus sous le couvercle, et après une certaine lassitude ressentie ces dernières semaines, on est à nouveau sur les ergots en prévision des shows futurs, et on espère que vous partagez notre avis. Que ce soit le cas ou non, dites-le ici-bas dans les comms!

 

 


Vous… vous m’oublierez pas, hein?


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